Saison 2 – Episode 33


Titre : /
Date de sortie (japonaise) : 4 septembre 2009
Date de sortie (française) : /
Personnages : Allemagne, Italie, Romano, Angleterre, Amérique, Espagne


Détail de l’épisode :

J’ai horreur de ce genre de café, partie 1 : L’épisode s’ouvre sur une silhouette dans la rue, un humain du nom de Nuruyama Nuruo (23 ans), qui entre dans le café d’Allemagne. Le jeune inconnu se fait aussitôt réprimander pour être arrivé en retard, Allemagne lui lance qu’il n’a pas assez d’ambition pour devenir soldat, l’inconnu présente de plates excuses.
Première note : « Se fait gronder à peine arrivé »
Allemagne lui donne le menu du jour à l’oral, contenant de l’agneau en conserve, trois biscuits, de la soupe et c’est tout !

Deuxième note : « Le menu est donné à l’oral »
Le jeune homme avale sa première bouchée et aussitôt Allemagne enclenche un chronomètre : il n’a que quinze minutes pour manger. S’il n’y arrive pas, il devra s’acquitter de dix nouvelles pompes, le jeune homme s’étouffe.

Troisième note : « Le temps est limité »
Une fois repu, l’inconnu s’apprête à quitter le café quand Allemagne pose une main sur son épaule, lui déclarant gravement qu’il doit rester fort, peu importe le front sur lequel il sera assigné.

Quatrième note : « Rentrer chez soi revient à un adieu éternel »

Sur le champ de bataille, de nuit, Italie a une pensée pour Japon et explique qu’il se trouve avec Allemagne en Afrique. Il ajoute que c’était au départ l’idée de son frère, mais que ce dernier a finalement décidé de rentrer chez lui. Italie poursuit en disant qu’Angleterre s’en prend souvent à lui, et que cela lui donne envie de pleurer.
Autour d’un feu de camp, Italie rend compte de la journée, tout sourire : Angleterre n’a rien pu faire lorsqu’ils ont battu en retraite, mais Allemagne lui rétorque qu’il n’y a pas de quoi être fier. Il prend le relais niveau bilan : leur armée de 250 000 hommes ne fait pas le poids face aux 480 000 américano-britanniques. En passant, Italie remercie Allemagne d’être venu l’aider, même si celui-ci ne pensait pas son ami capable d’envoyer un SOS juste parce qu’il n’arrivait pas à nouer ses lacets… Italie promet de faire de son mieux le lendemain. C’est bien d’essayer mais Allemagne lui demande de ne pas se surmener non plus.
C’est alors que passe une étoile filante, Italie fait aussitôt un vœu : pourvu qu’Angleterre ait un mal de crâne et rentre chez lui. Allemagne demande alors à son ami ce qu’il fait, et, après explications, il trouve cette attitude puérile. Il pousse Italie au lit, mais celui-ci demande à Allemagne ce qu’il va faire, ce dernier le met face à l’évidence : qui va surveiller le camp s’ils s’en vont dormir tous les deux ? Italie lui fait promettre de le réveiller lorsque ce sera son tour de faire le guet.
Une fois seul, Allemagne contemple le ciel, une nouvelle étoile filante passe, il formule alors… plusieurs vœux : pourvu qu’Italie arrête d’être un pleurnichard, pourvu qu’Italie cesse de vouloir manger des pâtes tout le temps, pourvu qu’Italie ne tombe plus malade en mangeant des glaces, mais aussi pourvu qu’Italie soit plus habile avec les grenades, et ce serait bien aussi que le grand frère d’Italie arrête de venir le frapper. Dans le ciel, l’étoile filante se plaint de ne pas pouvoir tout exaucer, c’est beaucoup trop !
Au camp allié, Angleterre finit un speech sur la stratégie à venir, une étoile filante surgit soudain et vient s’écraser dans le crâne d’Angleterre. Amérique s’excite tout seul, trouvant cela fichtrement amusant.
Le lendemain, un messager vient prévenir Allemagne et Italie qu’Angleterre a un mal de crâne et qu’il a dû rentrer chez lui.

J’ai horreur de ce genre de café, partie 2 : Nous découvrons un nouvel inconnu, qui se nomme Pokota Pokozu (21 ans, qui vient de se faire larguer par sa petite amie), il débarque dans le café d’Espagne, cette fois. Ce dernier l’accueille à bras ouverts, ravi d’avoir enfin un client. Espagne lui raconte sa vie, combien c’est difficile de tenir un commerce lorsqu’on a aucun client à cause d’une situation financière difficile. Le jeune inconnu, déprimé, n’en peut plus de ces bavardages. Espagne lui présente soudain un T-shirt qu’il a conçu, faisant référence à une réplique que le roi d’Espagne avait lâché contre le président du Venezuela (¿Por qué no te callas ? En français : Pourquoi tu ne la boucle pas?). Espagne trouve que cela va très bien à son client, puis, il se décide enfin d’aller faire du café. Cependant, il ne dispose que de café instantané qu’il gardait même pour lui. Le jeune homme n’en peut plus, mais il accepte par dépit…

 

Quelques captures d’écran de l’épisode : 

~ Rédaction : Oya’
~ Check : Florae

<< Episode précédent (2.32) — Episode suivant (2.34) >>