Titre : Sur le front africain ! Partie 2
Date de sortie (japonaise) : 14 août 2015
Date de sortie (française) : /
Personnages : Angleterre, Amérique
Résumé de l’épisode :
Adaptation du chapitre « Africa sensen ! Sono 2 » (Sur le front africain ! Partie 2) du tome 5 d’Hetalia Axis Powers
L’épisode étant la suite directe du précédent, on nous rappelle les évènements : Italie est venue en Afrique pour une raison inconnue et Angleterre en a profité pour briller.
Après le générique, nous sommes donc de retour au camp avec Angleterre, pas peu fier de sa toute nouvelle machine portative pour faire bouillir les œufs. Puis, pour fêter sa victoire, il décide de déguster une tasse de thé. Mais sa pause est interrompue par des bruits sourds à répétition. C’est alors qu’Amérique pénètre dans la tente. Angleterre en lâche sa tasse tandis que les soldats s’alignent derrière Amérique affirmant être venu en héros.
Peu après, Amérique discute avec Angleterre, une « super mega » boisson. En toute innocence, il se demande si Angleterre ne se fait pas vieux et que ce serait la raison pour laquelle il aurait du mal avec Allemagne et Italie, remarque d’Angleterre prend très mal. Il est d’ailleurs persuadé qu’Amérique dit ça parce qu’il n’a pas vu son superbe combat. Mais ce dernier ne l’écoute pas et présente ses troupes d’élite. Lesquels sont tous à prendre des photos et s’émerveiller du paysage. Tout pour inquiété Angleterre, bien au contraire ! Amérique ne comprend pas. Un encart nous explique brièvement comment s’organisait l’armée américaine de l’époque.
En plein état major, Amérique se plaint : il ne veut pas d’une opération aussi ennuyante. Angleterre rétorque qu’il n’a aucunement l’intention d’agir à sa façon. C’est le total désaccord. Un soldat américain les observe et fait la remarque à voix haute qu’ils sont peut-être frère mais qu’ils ne se ressemblent pas du tout. Amérique et Angleterre se calment aussitôt. Tandis qu’Amérique sirote de nouveaux sa boisson tranquillement, Angleterre bafouille des paroles incompréhensibles, rouge de gène. Lui, grand frère ? Voyons la flatterie ne mène nulle part. Mais pour sa part, Amérique ne comprend pas de quoi on parle et nie la chose en bloc.
Amérique déclare qu’il s’en va à la rencontre des locaux, accompagné de sa fanfare militaire. Angleterre n’en revient pas qu’il l’ait amenée. C’est qu’il veut faire grande impression et il est d’ailleurs persuadé que les gens ici l’attendent avec impatience ! Angleterre questionne sincèrement ses intentions. Un peu plus tard, alors qu’il tend la maison à un africain, il se fait proprement envoyer balader. Cette personne déclare détester les anglais et lui demande de partir. Amérique est désarçonné et Angleterre en profite pour le railler. Cependant, cela ne semble pas affecter Amérique qui demeure figé, le dos tourné. Angleterre se demande bien ce qu’il peut faire et tente une approche plus douce pour rassurer Amérique. Mais lorsqu’il s’approche, il découvre qu’Amérique est loin d’être encore préoccupé par ce rejet et est plutôt en train d’essayer de faire griller une guimauve à l’aide d’un feu de briquet. Angleterre se promet de ne plus jamais essayer de réconforter Amérique. Un encart nous présente la pratique courante de la guimauve grillée coincée entre deux biscuits.
En pleine savane, Amérique se plaint de la chaleur en Afrique. Puis, il se plaint de la marmite d’Angleterre. Ce à quoi Angleterre répond que c’est très nutritif et qu’il ferait mieux de l’avaler fissa. Recouvrant soudain toute sa vigueur, Amérique propose de faire la course jusqu’au sommet de la colline face à eux. Angleterre relève ce défi. Peu après, Angleterre panique en découvrant un animal venimeux qu’Amérique récupère en toute naïveté. Il le rassure pourtant : il s’en sortira toujours parce que c’est un héros ! Avant de prendre un serpent sur la tête et qu’Angleterre ne hurle en déguerpissant… Amérique admet qu’un héros a parfois quelques soucis. Angleterre hurle de nouveau. Soudain, il se réveille dans sa tente, au camp. Ah ? Tout ceci n’était donc qu’un rêve ? Tant mieux ! Angleterre souffle.
Un matin suivant, nous retrouvons Angleterre, apaisé, en train de déguster son thé. Définitivement, il n’y a rien de mieux que cette ambiance digne d’un gentleman. Le babysitting, ce n’est décidément pas pour lui. Mais c’est alors qu’Amérique débarque. En panique, Angleterre en lâche sa tasse.
Rédaction : Oya’
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