Réunion au sommet 1 ~ Tous les pays du monde apparaissent~


Narrateur : Réunion au sommet, 1. Voici la salle de réunion du Parlement National d’un certain pays.
Allemagne : S’il vous plait, tout le monde, calm-
Amérique : Le sommet mondial commence maintenant ! Ne devrait-on pas régler les problèmes mondiaux ?
Allemagne : Eh !
Amérique : Comme chacun le sait, celui qui préside, bien entendu, c’est le héros du monde, Amérique !! En parlant de héros, le film hollywoodien intitulé « fdsgdf !!! » que j’ai réalisé cette année sortira partout dans le monde au même moment ! Ah, c’est un chef-d’œuvre qui fera pleurer tout le monde, ou peut-être juste moi ! La scène clé du film, c’est celle où la petite amie du protagoniste Jenny réduit cinq bulldozers en miette à main nue…
Angleterre : Dépêche-toi et avance, imbécile.
Amérique : Ok !! Donc, on commence et on s’y met à cette réunion, ça marche ?

Amérique : Ok, ok, ok, commençons d’abord par moi. Le sujet du jour concerne la solution au réchauffement climatique. Voici ce sur quoi je me suis creusé la tête hier sans dormir… *dépose quelque chose*… je pense que ça serait chouette de sauver la Terre en lançant « Jenny » un énorme robot américain dans l’espace. Oh, et bien sûr on peut se partager la note !
Angleterre : Ne nous force pas à partager la note après avoir collé un nom américain à cette chose ! Et cette idée est trop stupide !
Amérique : Quoi ?! Chut, Angleterre. Je vais expliquer juste après la super fonction de Jenny ! Et regarde ça, Jenny est doté d’une machine à faire des glaces, et à l’intérieur, il y a un McDon*lds ! Oh, et il y a aussi des toilettes construits en Russie !
Angleterre : N’ajoute pas d’éléments dangereux. Tss, tu ne voudrais pas te taire ? Y a-t-il d’autres avis ?
Japon : Euh… oh, hum… c’est un peu… euh, non, je suis d’accord avec Amérique.
Angleterre : Eh, Japon. Parfois, ce n’est pas un problème de donner son opinion. En particulier face à un type pareil. Un type pareil !
Amérique : Eh, tu parles de mon idée ? Pourquoi ? Même si c’est merveilleux comme ça.
Angleterre : D’où est-ce que tu trouves ça merveilleux ?! Comment peut-on sincèrement être d’accord avec une idée aussi irréaliste et stupide ?!
France : *soupire* Et bien, moi, France, je ne suis d’accord ni avec Amérique ni avec Angleterre…
Angleterre : Lequel des deux ?! Tss…
Amérique : Angleterre et France, c’est votre passe-temps d’être en désaccord avec moi ou quoi ? Pourquoi vous vous trouveriez pas un truc plus fun à faire ?
France : Parce que, vois-tu, mon bon goût considère qu’il est piètre d’avoir les même opinions que vous. Moi, France, je diffère de vous deux car je suis un gentilhomme.
Angleterre : Ne décide pas des choses importantes sur la base de ton « bon goût » ou quoi, sac à vin ! Tu es toujours, toujours en train de te foutre des motifs de mes cravates !! Mets-la en veilleuse. Je vais te raser la barbe aujourd’hui…
France : Non ! Tu viens ou quoi ? Prêt à te battre avec moi ?
Japon : Oh, s’il vous plaît, calmez-vous. Russie, je t’en prie, dis quelque chose aussi. Et rends-moi quelques affaires.
Russie : Hum ? Hein ? Moi ? Pour ma part, je souhaite voir Lituanie avoir de gros, gros ennuis, pleurer et être perdu. N’est-ce pas, Lituanie ?
Lituanie : Hum, ah ah ah, qu’essayez-vous de dire là, Russie ? Ah ah ah… ah… Je ne veux plus être assis à côté de lui…
Allemagne : Fermez-la tous ! Il s’agit d’une réunion pour résoudre des problèmes, alors pourquoi créez-vous encore plus de problèmes ?!
Angleterre : Eh, Al… Allemagne… tu as raison, je me suis emporté. Pardon.
Allemagne : Oui, si vous comprenez ça, c’est bien.
France : Tout est la faute de ce gus.
Angleterre : Ah !! Pourquoi tu rejettes la faute sur moi ?! Eh !!
France : Parce que la réunion traine en longueur à cause de toi.
Angleterre : …Désolé.
Allemagne : Très bien, une fois tout le monde calmé, reprenons.

Allemagne : Ceux qui souhaitent proposer une idée, présenter d’abord vos données spécifiques. Nous en discuterons par la suite. Aucun ne doit excéder huit minutes. Dépasser le temps alloué et faire part de choses inutiles ne sont pas autorisé ! Désormais, pour commencer, que quiconque voulant faire une déclaration se prépare à l’avance et lève la main.
Autriche : Allemagne, tu fais beaucoup de compromis.
France : ça, c’est des compromis ?
Angleterre : C’est trop autoritaire de ta part, Allemagne !
Allemagne : J’oubliais de dire… pas d’objections ! Très bien, donc, Autriche, qu’as-tu en tête ?
Autriche : En effet… je pense qu’il serait judicieux s’il y avait un large piano ici-même. Un piano à queue de préférence, mais si cela s’avérait impossible, un quart de queue ferait l’affaire. Car je suis d’humeur à jouer de manière fort classique Une petite musique de nuit[1].
Allemagne : Vraiment incroyable.
France : Il n’y a aucune « donnée », ce n’est rien que de la divagation…
Autriche : Tais-toi je te prie ! Ignare. Bien… aujourd’hui, toute la nuit durant, je m’en vais vous narrer l’histoire de Mozart de sa naissance à ses succès à Vienne.
France : Désolé, mais… aujourd’hui, j’ai promis à cette charmante jeune fille de la retrouver, vois-tu…
Allemagne : Ok, suivant !
Angleterre : E-eh, Amérique. Il y a encore une minute, tu étais si enthousiaste, prend les devants et mène la conversation !
Amérique : Hum, dirigé par d’autres nations, mon désir de faire quoi que ce soit disparait, tu sais. Et toi, alors, Angleterre ?
Angleterre : Po-pourquoi je devrais parler ?! Oh… oui… qu’en est-il de toi, Russie ?
Russie : Hein ? Dépêche-toi et lève la main, Lituanie. Ou sinon, n’y a-t-il pas quelqu’un d’autre pour prendre la tête de la discussion ?
Lituanie : Non, je n’ai pas vraiment d’idée, ça me va…
Russie : Ce genre de faiblesse n’est pas bon… Tu devrais changer. Tu ne pourras pas assumer la globalisation ! Pas vrai, Japon ?
Japon : Je n’ai aucun commentaire à faire.
France : Hum, attendez une seconde. Il n’est pas censé y avoir quelqu’un d’autre qui devrait contribuer à cette réunion ?
Japon : Oui, par là, cette personne en train de rêver d’aller dans un pays…
Autriche : Oui, quelle honte.
France : Pourquoi Allemagne ne se préoccupe-t-il pas de ce type, qui montre bien qu’il ne fait pas du tout ce qu’il est censé faire ?
Autriche : Il a baissé les bras.
Angleterre : Pff, mais on doit maintenant le laisser faire quelque chose. Eh ! Eh, Italie !
Italie : Ah ? Hein, quoi, quoi ?
Angleterre : Ne dis pas « quoi, quoi » ! J’ai dis lève la main et balance un truc !
Italie : Oh ? Ah bon. Compris, Angleterre !

Italie : Ok, ok. Je vais dire quelque chose.
Allemagne : Humpf. Toi… bon et bien, je t’autorise à parler, Italie !
Italie : Ok. Hum… Des pâtes !!!… je veux en manger.
Angleterre : Toi… La dernière fois, tu as crié que tu voulais de la glace !
Tous : Hetalia !


[1] Sérénade composée par Mozart. En savoir plus