Titre : La légende du grand, du fabuleux moi
Date de sortie (japonaise) : 31 juillet 2015
Date de sortie (française) : /
Personnages : Amérique, Angleterre, Allemagne, Italie, France, Prusse, Autriche, Japon
Résumé de l’épisode :
Adaptation du chapitre « Oresama ijin-den » (La légende du grand, du fabuleux moi) du tome 6 d’Hetalia Axis Powers
Amérique fait étalage de ses chars d’assaut face à un Angleterre qui trouve décidément qu’il en fait toujours trop. Il révèle qu’auparavant Amérique prenait soin de ses affaires et leur accordait une grande valeur. Une note nous explique que cela vient de l’époque où les colons s’enfonçant dans les terres prenaient d’autant plus soin de leurs affaires qu’elles devenaient rares et précieuses. Angleterre se demande ainsi si cette manie de tout multiplier à l’infini ne viendrait de la faim dont a souffert pendant longtemps Amérique. Dans toute sa mansuétude, Angleterre lui accorde de construire autant de chars qu’il souhaite et lui offre même un chocolat, un comportement qu’Amérique ne comprend pas du tout.
Après le générique, nous découvrons Allemagne fuyant l’Egypte, Italie amoché sur le dos, des chars fumants dans le fond, tandis qu’Angleterre exulte. Soudain, Amérique surgit à toute vitesse, affirmant que le libérateur du monde vient à son aide ! Il insiste même : c’est le travail du héros de venir en aide aux plus faibles. Angleterre le prend très mal. Agacé et perplexe, il découvre ensuite qu’Amérique est arrivé avec une seule caisse d’affaires sans se soucier d’être en plein désert. Mais 1. Amérique est super optimiste. Il enchaine directement avec son plan d’atteindre Allemagne via France. 2. Amérique est très simple d’esprit. Sans transition aucune, Amérique déclare enfin sans ambage que son boss déteste celui d’Angleterre et donc lui proposer de faire une compétition. Angleterre est dépassé. 3. Amérique rajoute du travail supplémentaire inutile.
Un encart nous présente finalement l’histoire du grand, du fabuleux Prusse. La narratrice nous explique qu’il s’agit d’une histoire sur Allemagne. Alors qu’il est aujourd’hui un seul pays, fut un temps où il ne s’agissait que d’un conglomérat du nom de Saint-Empire Romain Germanique. En vérité, ces grands frères d’Allemagne étaient bien loin d’être unis… Pourtant, ils ont un jour pris la décision de se rassembler pour devenir l’actuelle Allemagne. Et celui qui agit le plus en grand frère était… Prusse !
Prusse raconte qu’il n’avait pas tant de pouvoir dans la confédération mais qu’il incroyablement gagné en force avec la maison Hohenzollern. Et c’est ainsi qu’il a abattu un à un les puissants se complaisant dans leur réputation (c’est-à-dire France et Autriche). Prusse s’attribue l’idée d’une unification et c’est pourquoi battre Autriche a été selon lui la première étape en ce sens. Et c’est ainsi qu’Allemagne est né. Prusse exulte et se tourne vers lui. Pas impressionné pour un sou, Allemagne lui demande de ramasser le linge. Prusse accepte de suite.
Nous les retrouvons par la suite dans un bar, partageant une bière au comptoir. La narratrice nous explique qu’Allemagne est quelqu’un de guindé, d’assidu et d’excessivement sérieux, quand Prusse est un grand frère qui aime la nouveauté et qui agit parfois un peu trop librement. Les deux frères trinques avec leurs chopes. Prusse déclare que, quand on les voit, ils ne se ressemblent pas tant que ça. Tous les deux se demandent bien comment ils peuvent savoir qu’ils sont frères. Allemagne approuve en ajoutant que deux comme Prusse serait extrêmement bruyant. Plus loin, Italie et Japon les observe : ils constatent que les deux Germains boivent à la même vitesse. Un encart sur l’histoire de la bière conclue cette histoire.
Cette fois, Prusse et Allemagne sont cachés dans les fourrés, aux abords du camp d’Amérique. Prusse donne ses dernières recommandations à son petit frère, lui faisant par de sa propre expérience. Il se souvient notamment de la fois où Napoléon l’a provoqué. On découvre dans un flash-back un France moqueur raillant Prusse le faisant sortir de ses gonds et donnant l’opportunité à Pierre l’oiseau de l’attaquer de plein fouet. Pour Allemagne, pourtant, il s’agit plutôt de son frère qui ne réfléchit pas avant d’agir. Prusse ne veut rien entendre.
Rédaction : Oya’
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