*Un hibou hulule. France et Espagne dorment*
*Des bruits de pas approchant*
Prusse : Ah ah ah ah ! Tu es là, Espagne ?!
*France et Espagne se réveillent en sursaut*
France : Qu- hein ?!
Espagne : Cette voix… c’est toi, Prusse ?
*Prusse entre dans la tente*
Prusse : Ah, génial, vous êtes là tous les deux ! Je viens de placer un piège fabuleux pour capturer ce sale pourri-gâté d’Autriche ! C’est enfin prêt !
Espagne : Je me demandais pourquoi tu n’étais pas là. France avait bien deviné ce que tu trafiquais dans ton coin.
Prusse : Ah, ravi de voir que cela ne t’a pas échappé ! Je l’ai placé dans ta zone, Espagne. Avec ce piège, je pourrai entendre l’aristo pleurer d’agonie demain ! Kesesesese !
Espagne : Oh… Ah, content de l’entendre.
Prusse : Ah ah ah ah ! Vante-moi tant que tu veux !
France : Oui, oui, fantastique, fantastique. Je suis bien heureux que ton piège soit achevé et tout le tintouin, mais tous les autres soldats dorment à présent. Tâche de ne pas faire un tel tintamarre, veux-tu ?
Prusse : Quoi ? Ce n’est pas cela qui va les réveiller, voyons !
Espagne : Ce serait d’autant plus problématique que des soldats ne se réveillent pas à un bruit tapageur.
Prusse : D’ailleurs, vous allez déjà vous couchez ? Quelle heure est-il ?
France : Regarde la lune. Elle est juste au-dessus de nos têtes ! Là, tu devrais réalisée que ce n’est pas le moment de causer un tel raffut.
Espagne : Il a raison. C’est l’heure de dormir.
Prusse : Je vois. Maintenant que vous le dites, j’ai en effet un peu sommeil.
France : Sur ce, tu devrais retourner sous ta tente. Ne fait pas trop de bruit dehors et évite de réveiller les soldats en chemin !
Prusse : Oui ! A la revoyure !
Espagne : Bonne nuit.
*Prusse sort*
Espagne : Ah bah. Nous voilà complètement réveillés.
France : Ah, alors même que nous commencions seulement à dormir. Quelques secondes de plus et je me retrouvais à passer du bon temps avec mes chéris aux pays des rêves.
Espagne : Eh bien, eh bien, c’est que nous n’avons pas grand-chose à faire maintenant que nous sommes debout.
France : Il est vrai, certes, mais… *soupire* je me demande si nous ne pouvons pas nous rendormir ?
Espagne : Hum… Ah ! Et si je comptais les moutons pour toi cette fois ?
France : Tu veux remettre cela ?
Espagne : Tu as bien vu comme c’était efficace tout à l’heure ! Que nous fassions du moins quelque chose de constructif plutôt que rien du tout.
France : C’est que c’est un bon argument. Je t’en prie, compte.
Espagne : Avec plaisir ! Laisse faire le chef ! Couche-toi, France.
France : Oui.
~ traduction : Oya’