Prusse : Eh, Ouest !
Allemagne : Qu’est-ce qu’il y a ?
Prusse : C’est pas juste qu’il y ait que moi qui aie compté. C’est ton tour, maintenant ! Compte pour moi !
Allemagne : Pardon ? Qu’est-ce que c’est que cette histoire ? C’est toi qui as débarqué de nulle part et a commencé à compter pour moi, non ? Et mon tour ? *soupire* Je pense pas que le but premier, c’est de simplement compter les moutons aux autres. C’est pour les aider à s’endormir.
Prusse : Oh, bah ça va alors ! Je sais bien que compter avec autant de classe, c’est pas facile à suivre, mais compter les moutons, c’est du gâteau pour toi. Tu vas t’en sortir !
Allemagne : Et là, je sais que tu ne vas pas écouter un mot de ce que je dirai maintenant.
Prusse : Qu’est-ce qui va pas ? Si t’es nerveux, je veux bien te faire part de mes secrets pour un compte à la pointe de la super classe mystérieuse, rien que pour toi !
Allemagne : Il n’y a pas de secret pour bien compter.
*Prusse se fourre dans les draps d’Allemagne*
Prusse : Ok, je suis prêt, là !
Allemagne : Mais ! Pourquoi tu utilises mon lit sans ma permission ?
Prusse : Oh, arrête avec ton balai dans le train arrière ! Je ferai gaffe à retourner dans mon lit quand tu te sentiras fatigué.
Allemagne : Tu n’en partiras pas avant, hein ?
Prusse : Ou-est ! Com-pte les mou-tons pour moi main-te-nant ! Ou-est !
Allemagne : C’est bon, ça va ! Je vais le faire donc calme-toi un peu ! Tu vas froisser les draps.
Prusse : D’accord ! C’est mon super petit frère, ça !
Allemagne : Pas le choix. Je dois juste l’endormir aussi vite que possible pour pouvoir retourner travailler.
~ traduction : Oya’