Narrateur : Six heures du matin.
Romano : Eh, toi ! Fais le petit dèj’ maintenant! Petit dèj’ maintenant, petit dèj’ maintenant !
Espagne : Arrête ça… Arrête de sauter sur mon estomac pour me réveiller…
Romano : Fais le petit dèj’, Espagne ! Petit dèj’ maintenant !
Narrateur : Son laquais le força violemment à se lever.
Espagne : Je suis encore fatigué…
Romano : J’ai la dalle depuis que je suis debout, enfoiré !
Espagne : Juste un petit plus longtemps…. Dodo, dodo, dodo…
Narrateur : Sept heures du matin.
Belgique : Bien le bonjour !
Espagne : Bonjour ! Où est Pays-Bas ?
Belgique : Mon frère est… et bien, tu sais…
Espagne : Oh oui, j’avais oublié qu’il me déteste…
Belgique : N-non, ce n’est pas ça… oh ! Veux-tu que je t’aide à préparer le petit déjeuner ?
Espagne : Oh oui, volontiers ! Une certaine personne avec l’estomac dans les talons est en train de faire tout un vacarme ici.
Belgique : *glousse* Compris, m’sieur ! Mettons-nous au travail dès à présent !
Romano : Pourquoi ça prend tout ce temps, merde alors !? Dépêchons et qu’on bouffe, bâta- *gargouillement*
Espagne : *rit* Vraiment désolé pour l’attente, petit affamé sur patte !
Romano : Quand j’aurais mangé, je vais te coincer…
Narrateur : Un bon et tranquille petit déjeuner.
Narrateur : Neuf heures du matin.
Roi : Que sont donc ces étranges feuilles ?!
Espagne : Hum, ce sont les dettes laissées par le roi précédent, précédent.
Roi : C’est sans espoir… Nous n’avons pas assez d’argent pour payer tout cela ! Je suis censé être le roi et je ne peux même pas vivre dans le luxe !
Espagne : C’est peut-être vrai maintenant, mais si vous faites de votre mieux afin de renforcer le pays, vous devriez y arriver !
Roi : Je ne me vois pas du tout travailler… Je suis le roi et je mène une vie de prolétaire ! Ma motivation n’est pas attisée…
Espagne : Ne vous laissez pas avoir par des pensées négatives ! Une fois au fond du trou, on ne peut que remonter !
Roi : Non, noooon ! Impossible que je puisse le faire ! Je n’arrive même pas à réfléchir à un moyen pour redresser notre pays ! Même les Pays-Bas me détestent ! C’est sans espoooooir…
Espagne : Votre Majesté, reprenez-vous !
Narrateur : Il s’entretient avec son boss.
Roi : *bredouillement désespéré*
Espagne : Ne faites rien d’imprudent ! Ne faites rien d’imprudent !
Narrateur : Dix heures du matin.
Espagne : Vous là ! Si vous continuez à vous avachir ainsi, vous ne serez pas capable de voir quoique ce soit quand viendra le temps de se battre !
Soldat : O-oui, mon seigneur ! Mes excuses, mon seigneur !
Espagne : D’abord, essayez de trouver votre équilibre et redresser votre position !
Soldat : C-comme ceci ?
Espagne : Bien, mais essayez de garder votre pantalon sur vous, d’accord ?
*rires*
Narrateur : Il travaille assidûment.
Romano : *ronfle* Dodo…
Narrateur : Midi.
France : Bon appétit !
Espagne : Mais, pourquoi tu es venu ?!
France : Et bien *crunch crunch crunch* ta cuisine est la meilleure après la mienne.
Espagne : Je suis deuxième, hein ? C’est plutôt cool.
Narrateur : Il déjeune en compagnie d’un mystérieux voisin qui s’est invité de lui-même.
Narrateur : Treize heures.
Romano : Je l’ai fais juste parce que tu m’as dis de le faire !
Espagne : Je n’ai pas dis qu’il fallait mettre la pièce en bazar !
Romano : M-mais l’étagère m’est tombée dessus ! Et puis, y a cet écureuil géant qui est venu et… *fait des bruits*
Espagne : Non, ça ne s’est pas passé ainsi ! Allez, je vais t’aider à nettoyer ton désordre.
Romano : Je suis claqué, enfoiré !
Narrateur : Il nettoie le désordre de son laquais.
Turquie : Hum… Hum…. Ta défense est trouée de partout.
Narrateur : Et ainsi apparut l’ombre visant ledit laquais.
Narrateur : Quatorze heures.
Belgique : Et voilà ! Pfiou, je suis bien fatiguée !
Espagne : Eh, tu veux de l’aide ?
Belgique : Oh, je suis désolée ! Je peux ?
Espagne : Bien sûr ! Laisse-moi faire !
Romano : Je vais le faaaaire !
Narrateur : Lessive amicale.
Narrateur : Quinze heures.
*Romano et Espagne ronflent*
Belgique : *rit* Ils font la même tête !
Narrateur : Une sieste bien sûr !
Narrateur : Seize heures.
Oiseau : Piou piou.
Espagne : Oh, merci comme toujours !
Oiseau : Piou piou !
Espagne : A tous les coups, il doit y avoir la même chose d’écrite que la dernière fois.
Oiseau : Piou ?
Narrateur : Il reçoit une lettre de la part d’Autriche disant grosso modo, « Tu es un sot ! »
Narrateur : Dix-huit heures.
France : Sérieusement, ta nourriture est exquise, Deuxième !
Belgique : Pourquoi cher France mange-t-il ici ?
Espagne : C’est une habitude. Attends, il y en un autre ici !
Prusse : Ah ah ah ah ! Je suis venu ripailler ! Mon ventre gargouillant cherche à se remplir de nourriture !
*frappe la table*
Romano : Je déteste ça.
Espagne : Eh maintenant, Romano ! Ce n’est pas bien de faire le difficile, tu sais ?
Romano : Tu peux le prendre !
Espagne : Romano !
Narrateur : Diner en compagnie d’un mystérieux voisin en plus.
Narrateur : Vingt-et-une heures.
Espagne : Voici donc les tactiques que les armées utilisaient jadis, hein ? *baille* Bon, je ne peux pas les utiliser vu que notre artillerie est en mauvais état. Je me demande s’il existe quelque chose de plus pratique à utiliser ?
Belgique : On étudie sérieusement, n’est-ce pas ? Tu devrais essayer d’aller te coucher bientôt.
Espagne : Oui, j’y vais dans quelques instants. *baille*
Narrateur : Il étude la stratégie.
Narrateur : Vingt-deux heures.
Espagne : Je suis fatigué.
Romano : Ta gueule ! Grouille et va te pieuter, merde !
Espagne : Tu n’as pas besoin de rester éveillé jusqu’à ce que je me couche.
Romano : Qu’est-ce que tu racontes ? T’es en train de dire que je reste debout tout nerveux juste pour toi ?! Hum… putain… Je vais me coucher. A plus.
Espagne : Oui. Bonne nuit. *baille*
Narrateur : Et voilà une journée dans la vie d’Espagne
Narrateur : Deux heures du matin.
Romano : Eh ! T’as intérêt à t’assurer que les monstres vont pas venir me prendre avant que j’ai fini de faire pipi, d’accord ? PIGE, BATARD !?
Espagne : *baille*
~traduction : Oya’