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Italie : Hetalia 6 Axis Powers, Drama CD édition limité !

Tous : Le club de journalisme de l’Académie W, édition fête du sport !

Narrateur : Voici l’Académie W. Il s’agit d’une école, localisée on ne sait où dans le monde, où sont inscrites toutes les nations, et bien trop étrange pour son propre bien. Bagarre, explosions de portefeuille et déclarations de guerre sont monnaie courante, mais ces derniers jours, les choses sont plutôt tranquilles, et les étudiants qui n’ont pas beaucoup le goût du danger ont soupiré bien des fois de soulagement, tout en savourant pleinement la paix étourdissante environnante.


Narrateur : Et pourtant, au cœur de cette vie scolaire tranquille, il semblerait que certains soient un peu dans le pétrin à cause de cela…

Allemagne : Nous sommes dans une situation assez grave.

Japon : Oui, c’est l’exacte définition d’être à l’extrême limite.

Allemagne : J’ai retourné ça dans tous les sens pendant des jours, et pourtant je n’ai toujours aucune idée de la solution à apporter. J’ai consulté tout un tas d’experts et pourtant… ce problème est bien trop compliqué !

Japon : Ah, Allemagne ! Tu n’as pas à trembler ainsi, je t’en prie !

Allemagne : Pourquoi ? Pourquoi maintenant… Pourquoi ne se passe-t-il rien d’étrange en ce moment à l’école ?! On a encore trois jours avant l’échéance du club de journalisme ! Pourquoi diable rien de digne d’intérêt pour le journal ne se produit ?! A ce train-là, on n’aura pas d’autre choix que de faire un numéro entier sur l’art d’Italie, ses poèmes ou sa cuisine, voire même ses conseils en amour !

Japon : En effet, cela ne ressemblerait en rien à un journal, n’est-il pas ?

Allemagne : Si seulement je n’avais pas fait cette promesse en l’air qu’il pourrait écrire tout ce qu’il voudrait dans l’éventualité où on ne trouverait absolument rien à écrire ! Je suis désolé, Japon… Tout ça à cause de ma mauvaise gestion…

Japon : Tu es toujours un étudiant ! Tu ne peux pas te mettre à la boisson !

Allemagne : Oh, euh, je ne crois pas… Mais une bière, ça ne peut pas… Non, tu as raison. Je dois m’en empêcher pour cette fois.

Japon : Nous sommes un peu plus âgés que l’âge autorisé pour boire, ce devrait donc être possible, mais vous autres devez obéir à la loi.

Allemagne : Japon… A qui est-ce que tu t’adressais à l’instant ?

Japon : Atchoum.

Allemagne : Mais juste à l’instant-

Japon : ATCHOUM.

Allemagne : Ok, d’accord. Je ferai comme si je n’avais rien entendu dans ce cas… Mais on ne peut pas simplement inventer des choses qui ne sont pas arrivées… C’est une situation assez compliquée.

Japon : Oh, maintenant que j’y pense, j’ai ouïe dire que tu t’étais hissé à la première place du Championnat de l’Etudiant le Moins Drôle de la Classe Européenne. Devrions-nous mettre ça à la une ?

Allemagne : Pourquoi devrait-on se donner la peine d’attirer l’attention de tout le corps étudiant sur mon incapacité à être drôle ?!

Japon : Mes excuses.

Allemagne : En plus… Je parie que la plupart des lecteurs ne feraient que se dire que c’est bien ce qu’ils se disaient.

Japon : Oh que non, assurément…

Allemagne : De l’humour, hein ?… Quelle situation sacrément compliquée…

Japon : Oui, c’est assurément compliqué.

*Italie surgit dans la pièce*

Italie : Ciao ! J’étais en train de venir ici tout à l’heure, mais j’ai été distrait par une jolie fille et puis je me suis retrouvé l’épée sacrée de la statue mystérieuse que personne connait à l’entrée de l’école fichée dans le flanc !

*Du sang jaillit abondamment de son flanc*

Allemagne : Arrête de débarquer ici avec des salutations terrifiantes comme ça ! Mais comment diable as-tu fait pour que ça arrive ?! Ça va bien ? On doit t’emmener tout de suite à l’infirmerie !

Japon : Allemagne, ce n’est point du ressort de l’infirmerie ! Nous devons l’emmener de ce pas à l’hôpital !

Italie : Vous exagérez tellement, les gars ! Ecoutez…

*Il extirpe l’épée*

Italie : Je vais bien ! Je vais bien !

Japon : Il se l’est ôté !

Italie : Tu vois ? Je vais bien, d’accord ? Sinon, je peux pas m’empêcher de me dire que cette statue a quelque chose contre moi personnellement. Peut-être que cette statue est en réalité une femme et je l’intéresse !

Allemagne : Tu te plains que je te fais mal dès que je te fais une petite clé de bras de rien du tout. C’est quoi cette ténacité bizarrement située chez toi ?!

Italie : Allemagne, tes gros muscles sont des armes fatales ! C’est pas du tout la même chose !

Japon : Je vais remplir une pétition pour le retrait de la mystérieuse statue que personne ne semble connaître tenant une épée sacrée à l’entrée de l’école.

Allemagne : Oui, s’il te plaît.

*Italie farfouille des papiers*

Italie : Ve ! Au fait ! Vantez-moi ! Vantez-moi ! J’ai écris mon article pour le journal de ce mois-ci ! “Liste des choses que les filles de part le monde aiment” ! Vous pouvez vous en servir quand vous draguez !

*Allemagne grogne de frustration et de colère*

Italie : Je suis… désolé…

Japon : Non, je pense que c’est excellent, Italie.

Italie : Ouais !

Allemagne : Italie, qui ne tient jamais ses dates, a écrit un article dans les temps, et moi, je…

Japon : Allemagne… ce n’est rien qui mérite de s’énerver !

Italie : Hein ? Quoi ? Hein ?

Japon : Ah… Ces derniers temps, les choses sont bien calmes à l’école, si bien que nous n’avons rien à écrire comme article cette fois.

Italie : Oh, vous ne trouvez rien à écrire ? Je vois… Dans ce cas, on devrait consacrer ce numéro à la fête du sport ! Je suis chargé de prendre des photos de jolies filles !

Allemagne : La fête du sport qui vient, hein ? Pas plus tard que tout à l’heure, on a décidé qu’on ne pourrait rien en faire, de la fête du sport, parce qu’elle se termine trop tard pour achever nos articles dans les temps.

Italie : Oh, c’est vrai. Dommage.

Japon : Non, étant donné la délicate situation dans laquelle nous nous trouvons, je pense que nous devrions nous rendre à la fête du sport. Au vu des échéances, cela signifierait que nous devrons passer nuit blanche pour écrire à son sujet, mais nous ne pouvons nous sortir de ce pétrin sans faire quelques sacrifices. Au travail !

Italie : Beurk ! Une nuit blanche ?! Je vois… Il y a l’échéance pour l’impression à prendre en considération. Olala mais ça m’a l’air de beaucoup de travail !

Allemagne : En effet. Si on publie un article sur la fête du sport juste après sa clôture, cela nous assurerait un intérêt certain… Mais tu m’as l’air bien confiant étrangement aujourd’hui, Japon.

Japon : Le temps, c’est de l’argent ! Faisons de notre mieux pour tenir nos délais. Nous n’avons d’autre choix que d’y arriver !

Allemagne : Tu as raison pour ça. Notre club de journalisme n’a jamais raté une seule de ses échéances ! Ce n’est pas parce que nous n’avons aucun sujet sur lequel écrire que ça veut dire que nous devons baisser les bras et arrêter d’essayer ! Japon a raison !

Italie : Olala~ Olala~ On dirait que j’ai réussi à allumer une étrangère flamme sous leurs pieds.

Allemagne : Dans ce cas, c’est décidé ! On va utiliser la fête du sport pour notre une cette fois ! On se retrouvera à 5h du matin et on couvrira tout l’évènement, et ensuite on passera toute la nuit à écrire l’article !

Japon : Oui ! Ce sera une rude bataille le jour de la fête du sport, mais donnons-nous corps et âme et faisons de notre mieux !

Italie : Ve, ve, ve ! Même Léonard de Vinci avait des travaux qu’il a mis de côté pendant 10 ans ! Ça ne posera surement pas problème que je me mette en congé le jour de la fête du sport ! Ve, ve~ pas vrai ?

Allemagne : Nous serons tous présent pour donner tout ce qu’on a ! Japon ! Et toi aussi, Italie !

Italie : Aah ! Voilà ce qui m’arrive quand j’ouvre la bouche ! Quel idiot je fais !

Japon : Travaillons dur, Italie !

Italie : Je me demande si je peux vraiment travailler aussi durement… Oh, c’est vrai ! Tant qu’on est à planifier notre nuit blanche, s’il y a des jolies filles qui en seraient impressionnées, je pourrais travailler super dur !

Allemagne : Comme si des belles et gentilles femmes voudraient perdre leur temps à être impressionner par les activités d’un club comme le nôtre !

Narrateur : A ce moment-là, Italie se disait qu’il voulait simplement pouvoir dormir quand il est fatigué.

Italie : Ve~ pouvoir dormir quand on est fatigué est une aubaine, alors ?

~ traduction : Oya’