Saison 6 – Episode 2


Titre : Mangeons des rations militaires !
Date de sortie (japonaise) :10 juillet 2015
Date de sortie (française) : /
Personnages : Allemagne, AmériqueAngleterre, Australie, FinlandeItalie et Japon.

Résumé de l’épisode :

Adaptation de « Mirimeshi wo tabeyô ! » (Mangeons des rations militaires !) du volume 5 d’Hetalia: Axis Powers.

L’épisode s’ouvre sur Allemagne, Italie et Japon en train de déjeuner sur l’herbe. Lorsque Allemagne lui demande ce qui accompagne son riz, Japon explique qu’il s’agit de boeuf en conserve. Italie s’exclame qu’il en a aussi dans son plat mais ses compères sont persuadés que ce doit être délicieux, vu le standing de la gastronomie italienne. Au grand étonnement de ses amis, Italie affiche un air profondément écœuré en expliquant que c’est loin d’être le cas, que c’est le résultat d’une étrange chimie. Face à un Italie en pleur, Allemagne et Japon lui proposent chacun des rations de chez eux, qui apaisent ses papilles. Cette situation rappelle à Italie cette terrible époque où trouver la nourriture bonne était un pêché, ce qui choque profondément Japon.

Pendant ce temps, en Enfer, on observe cette discussion avec nostalgie pour certains, avec angoisse pour d’autres, quand ils se souviennent de l’affluence beaucoup trop importantes des âmes damnées.

Après le générique, Japon présente à Allemagne sa boîte de biscuits qu’il a confectionné d’après sa recette, les améliorant pour convenir à un régime et une vie militaire. Italie est très curieux de goûter quoique Japon le prévienne qu’ils sont très natures. Allemagne rétorque que c’est normal puisqu’on parle de rations militaires. Italie propose alors de rajouter quelque chose qu’Australie a oublié, de la vegemite ! Panique d’Allemagne qui sait pertinemment quel choc cela serait si Italie venait à en manger.

Alors que leur dégustation se poursuit, un Angleterre espion les observe au coin d’un mur, lunettes de soleil sur le nez, désespéré de les trouver tranquilles et heureux.

La narratrice nous explique ensuite que durant la guerre, la nourriture a fait l’enjeu d’un développement extraordinaire de la part de chacun des pays afin de répondre aux contraintes : Allemagne réfléchit à la cuisson des pommes de terre, Japon produit rations sur rations inspirées de ses plats, Italie… pense se contenter de ses conserves.

Mais de leur côté, Angleterre et Amérique ont opéré de nombreuses expériences sur la péremption, sans succès… Angleterre décrit même la réaction de rejet de la part de son corps, au point d’en pleurer sans le vouloir. Derrière eux, s’amoncèlent un énorme tas violâtre de nourriture laissée à l’abandon pour la science. Prenant leur courage à deux mains, Angleterre et Amérique se lancent dans le dernier test : le cake aux fruits conservé dans la réserve d’un certain M. Taylor pendant plus de cent ans ! Mais Angleterre est révulsé. Hors de question qu’il touche à quelque chose qui a plus d’un siècle, et il reproche à Amérique d’avoir gardé le pire pour la fin. Néanmoins… à leur grande surprise, ils constatent que le gâteau est mangeable, voire même bon.

Après un encart nous résumant les rations militaires actuelles d’Allemagne, Italie et Japon, nous retrouvons Angleterre et Amérique au camp. Amérique s’empiffre de conserve, déclarant que les siennes sont les meilleures. Alors qu’Angleterre se demande s’il fait bien d’en ingurgiter autant, Amérique répond que c’est une quantité habituelle. Contrairement à Amérique entouré de toute sa gastronomie mise en conserve, Angleterre se contente de biscuits secs et de flocons d’avoine. Amérique propose alors à Angleterre de partager sa nourriture dans toute sa générosité… ou pas ! Il demande aussitôt ce qu’Angleterre fera en retour pour lui ! Apparemment, Amérique n’est pas du genre à faire pour les autres s’il n’obtient pas quelque chose en retour, nous dit-on.

Autre encart pour présenter les rations militaires actuelles d’Amérique, Angleterre et en Scandinavie. De retour au camp, Angleterre sirote son thé tandis qu’Amérique s’inquiète de voir autant de soldats allemands. Il est atterré par le comportement d’Angleterre qui rétorque qu’il n’y a pas de mauvais moments pour déguster élégamment une tasse de thé, que c’est une habitue de gentleman. Lorsqu’il lui propose une tasse, Amérique répond outré qu’il boit du café. Mais alors qu’Angleterre continue de vanter les mérites d’une bonne tasse de thé, Allemagne se glisse derrière eux, les prenant au piège. Amérique et Angleterre demeurent tout sourire, figés.

Rédaction : Oya’

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